» Accueillir ce qui vient comme il vient. Ne pas s’épuiser à vouloir arrêter les marées, à tenter de changer ce qu’on ne changera pas, mais vouloir ce qui arrive de la manière dont il arrive. Jouer sa partition du mieux que l’on peut, même si l’on n’a pas écrit la symphonie ; naviguer sans faillir alors qu’on n’est pas maître des flots. L’océan a ses marées, la vie a ses hauts et ses bas. Il est préférable d’accompagner le mouvement plutôt que de s’y opposer. » Laurence DEVILLAIRS ( Auteure française, Normalienne, agrégée, Docteur en philosophie, spécialiste du XVIIe siècle et de philosophie morale – Extrait de son livre Petite philosophie de la mer)







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