Les pointes apportent élévation, suspension, légèreté à la danse. On travaille le délié du pied pour donner l’impression de flotter au sol et de ne pas taper dans les sauts. » Roxane STOJANOV (Danseuse Étoile Opéra de Paris)
» Quand j’emmène les chorégraphes dans les studios, ils sont éblouis par les pointes. C’est l’outil du miracle, un trésor incroyable. Mais quand je leur propose de s’en servir pour leur chorégraphies, 80 % préfèrent ne pas essayer. » Beate VOLLACK (Directrice du Ballet du Capitole à Toulouse)
» La pointe fascine mais terrifie ! Les chorégraphes ne savent pas l’employer car la plupart sont des hommes qui ne l’ont pas pratiquer eux-mêmes » Éric QUILLERÉ (Directeur du Ballet de Bordeaux)
» Pour les contemporains la pointe est un endroit de souffrance. Pour les classiques un accomplissement qui défie la gravité et tutoie la peur de glisser et tomber. L’identité des danseurs se construit autour de cet objet mais il n’y a plus beaucoup de créateurs qui s’y risquent » Cédric ANDRIEUX ( Directeur du Ballet de Lyon)







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