» Ô la biche : quel bel intérieur
d’anciennes forêts dans tes yeux abonde ;
combien de confiance ronde
mêlée à combien de peur.
Tout cela, porté par la vive
gracilité de tes bonds.
Mais jamais rien n’arrive
à cette impossessive
ignorance de ton front. « Rainer Maria RILKE (Écrivain et poète autrichien – Extrait de son recueil Vergers)






Laisser un commentaire